Déjà pour commencer, le vendredi tu laisses les clés de ta cage de chasteté au bureau ou dans ton vestiaire au travail. Si c’est un week-end où le lundi est férié c’est encore mieux.

L’étape suivante variera en fonction de là où tu habites. Si c’est un pavillon, tu iras déposer les clés de X cadenas et de tes menottes dans ton jardin. Si tu résides dans un appartement, va les déposer dans ta boite à lettre ou le coffre de ta voiture.

Le samedi matin vers 6 heures, tu commences par aller aux toilettes faire ta grosse commission et te faire un lavement pour être tranquille pour la suite. Pour préparer ton petit chemin qui n’est plus boueux à des visites sauvages, mettre un plug serait une sage décision.

Ensuite tu devras mettre des sous-vêtements féminins puis des collants et des chaussures à talon. Là, tu devras mettre une chaînette ou de la corde autour de chacune de tes chaussures puis de ta cheville pour ne pas pouvoir les retirer sans les mains.

Ensuite tu mettras un corset bien serré et tu raseras de très près avant de te maquiller pour te faire belle.

Avant de mettre une jolie robe ou une jupe et un chemisier, tu resserreras ton corset. Dans cette tenue, tu prépareras ton repas du midi et du soir. Le but est que tu n’ais qu’à réchauffer au micro-onde car cuisiner avec tes menottes est trop dangereux.

L’étape suivante consiste à te mettre une chaîne et un cadenas autour du cou comme un collier mais sans serrer, le but n’est pas de jouer sur la respiration mais juste d’y bloquer une paire de menottes qui ne s’ouvrent pas sans les clés qui ne sont plus dans ta maison.

Pour te donner du courage, tu te caresseras un peu en faisant la coquine qui allume des hommes pour se faire désirer ou ta Maîtresse qui a un énorme gode-ceinture et t’impose ce plan.

Une fois bien excité, tu passeras une des menottes sous la chaîne accrochée autour de ton cou puis tu te menotteras avec les mains devant toi.

A partir de là, tu vas découvrir le « plaisir d’être belle » ou le sens de l’expression « souffrir pour être belle ». En effet, pour te libérer du corset et de tes talons hauts tu vas devoir attendre une heure avancée de la nuit pour aller chercher les clés en espérant ne pas être vu.

La différence entre une femme et un travesti, porte aussi sur le fait qu’une femme rêve de pouvoir rentrer rapidement à sa maison pour retirer ses talons hauts alors qu’un travesti rêve de rêve de rentrer rapidement à sa maison pour en mettre.

Porter des talons hauts toute la journée finit par faire un peu souffrir les pieds et les chevilles. Toi tu vas pouvoir découvrir ce qu’elles endurent comme quand, après leur journée de travail, elles sont invitées à un cocktail.

Si tes tallons hauts te font un joli petit cul et de belles jambes, le corset affinant ta taille va te donner chaud et devenir inconfortable. Et oui il faut souffrir pour être belle.

Quand l’envie d’aller soulager ta vessie viendra, tu feras les cent pas devant les toilettes comme elles le font souvent quand un car de retraités s’arrête sur une aire d’autoroute juste avant elles. Là, la différence entre elles et toi, est de taille ! Elles ont les mains libres pour baisser leur culotte et leurs collants, toi non. C’est ce qui te pousseras à essayer de reporter l’échéance de la « desesperation », terme anglais signifiant se désespérer ou craquer et se faire dessus.

Quand ta vessie deviendra douloureuse et menacera d’exploser, pour ne pas trop pourrir ta maison, tu vas devoir tortiller des fesses pour parvenir à remonter ta robe ou ta jupe dans les WC avant de t’asseoir. Et oui, le corset bien serré plus les menottes accrochées à ton cou ne te laisseront pas beaucoup de marge de manœuvre pour essayer de faire, le moins de dégâts possible.

Quand enfin tu seras assise, tu devras t’abandonner dans ta culotte et tes collants. Essaye malgré tout de serrer les fesses si tu as mis un plug.... Après le grand moment de soulagement gênant, prend ton temps pour te relever si tu ne veux pas remplir tes chaussures quand tu te lèveras des WC. Tu hésiteras peut-être à boire pour ne pas avoir à recommencer.

Là tu vas commencer à me détester, à détester mes vraies bonnes mauvaises idées comme il y en a dans le classeur des coquins du gîte fétichistes. En effet, tes chaussures commencent à te faire souffrir tout comme le corset. Le pire est que tu vas devoir attendre la nuit et une heure tardive pour aller chercher les clés des menottes et des cadenas.

Pour t’aider à vivre cette expérience de sortie en femme, tu peux imaginer que ta Maîtresse t’envoie chercher les clés en rigolant parce que le voisin est un gros pervers assoiffé de sexe.... Si il ne te saute pas, il te demandera peut-être une gâterie en échange de son silence.

Quand ENFIN tu auras pu récupérer les clés tant désirées, il te manquera celles de ta cage de chasteté. Tu pourras déjà jouir du plaisir d’avoir les pieds libres, de retirer ce corset qui t’a laissé de belles marques puis, ce plug qui a fait de toi un travesti comblé pendant de longues heures.

Je te souhaite une bonne nuit et de beaux rêves érotiques après cette expérience.

NOTE DE l’AUTEUR

Ce scénario est écrit pour Alixtv de Fessestivites mais si vous êtes tenté de vivre l’expérience pour découvrir le sens de l’expression « il faut souffrir pour être belle » il ne vous reste plus qu’à essayer.

TSM